Une fois arriver à Lille je décompressais, j'oubliais tout, je me laisser aller à ma vie et c'était bien mieux comme ça, quand, un beau jours, Dylan, une vague connaissance m'invite à passer mon anniversaire chez lui, de faire ça en petite communauté avec une de mes amie la plus proche et un de ses amis le plus proche, j'acèptais, soucieuse du déroulement des 4 jours entre amis je décidais de prendre le numéro de ce type, que je ne connaissait pas et avec qui j'allais passer 4 jours
Ajouter nouveau numéro : Léo
(NB: Quand je parlais à Axel, il m'avais demandé, lui et ça jalousie hors du commun de ne pas m'approcher ou séduire un type qui s'appelait Léo T., quand Dylan m'a donné son numéro, j'avais dernière la tête l'idée de vengeance envers Axel, ça va de soit, mais je voulais surtout bien m'entendre avec Léo pour que le séjour se passe bien)
Quel garçon intéressant, le genre Rasta, qui écoute la nature, qui a fait les 400 coups avec ses potes, qui aime vivre, il ne tenait pas l'alcool, ni la drogue, c'était bête pour lui parce qu'il devenait vite insupportable mais ça je ne le savais pas encore. Je voyais que c'était un type bien.
La veille d'aller chez Dylan je l'ai vu en ville et bien sûr, nous avons passé une bonne journée, l'un comme l'autre.
Le lendemain, commençait les 4 jours chez Dylan (auxquels, au final, mon amie ne venait pas). Tout avait très bien commencé et la première nuit à été passée avec Léo, cela dit, il ne s'est rien passé.
Deuxième nuit, trop fatiguée, rien
Troisième nuit, ravage de la drogue, rien
De plus, pendant les jours les rapports se dégradaient, il prenait tout au premier degrès, se sentait agressé quand je le taquinais un peu, bref, ça s'est vraiment mal finit.
Au moment de partir, je lui ai fait un bisou sur le front avec un "à la prochaine", auquel il n'a pas dénié répondre.
J'étais seule, Dylan m'a raccompagné en vélo, je devais prendre mon bus à une heure de marche de chez lui. A partir de cette mauvaise expérience avec Léo je me suis dit qu'il fallait que ça cesse, que je devais arrêter de me jeter dans les bras de n'importe quel beau garçon. Je me reprenait en main, après 4 mois à toucher le fond.